Geezer Butler de Black Sabbath salue les Beatles, Hendrix… et Billie Holiday
Vous ne serez peut-être pas surpris de trouver Sabbat noir‘s Geezer Butler confirmant son enthousiasme continu pour Jimi Hendrix, ou les Mères de l’Invention. Pas tout à fait autant de ses admirateurs le connaîtraient comme un Billie vacances ventilateur.
Le co-fondateur, bassiste et parolier du groupe vient d’avoir son autobiographie, Dans le videpublié par HarperCollins, décrit comme « sa version de l’histoire du sabbat, depuis ses débuts en tant que quatuor de blues décousu jusqu’aux nombreux changements de line-up, aux tournées record et à l’enfer international avec Ozzy Osbourne, Tony Iommi et Bill Salle. »
Au milieu d’une série d’entretiens pour promouvoir les mémoires, Butler a parlé à Rotation magazine pour leur reportage « 5 albums dont je ne peux pas me passer ». Son choix n ° 1, parmi une sélection d’albums rock qui sont arrivés à une époque formatrice de son développement musical dans les Midlands de l’Angleterre, est Les Beatles‘ Revolver. « Quand je me suis précipité chez le disquaire local et que j’ai acheté cet album, je n’arrivais pas à croire ce que j’entendais », dit-il. « C’était révolutionnaire. »
Bob Dylanc’est Les temps sont en train de changer’ est un autre favori de tous les temps pour Butler, en particulier pour la chanson titre, qui, selon lui, « a parlé pour une toute nouvelle génération » et pour « With God On Our Side ». Il décrit cette dernière comme la plus grande chanson anti-guerre jamais écrite et l’inspiration directe pour lui d’écrire « War Pigs » de Sabbath.
Butler dit dans le Rotation morceau qu’il aurait pu choisir l’un des trois premiers albums de Mothers of Invention, mais a opté pour Nous ne sommes là que pour l’argentsur lequel il note de façon amusante qu’ « ils semblent avoir enregistré (Franck Zappa‘s) cerveau ! » Également dans la liste est l’expérience Jimi Hendrix Axe : Audacieux comme l’amourdont il se souvient avoir vu le guitariste révolutionnaire sur Top des pops et acheter un billet pour son spectacle à Birmingham Odeon, soutenant de manière incongrue Engelbert Humperdinck.
En conclusion de sa liste se trouve le LP éponyme de 1947 de Holiday, avec le controversé « Strange Fruit ». « J’ai découvert Billie Holliday assez tard – dans les années 1980 – et je suis immédiatement tombé amoureux de sa voix », explique Butler. « Tellement d’émotions et de sentiments, et complètement unique. J’aime la gamme de chansons de cet album, des standards à « Strange Fruit », mais son interprétation est magique. Je ne me lasse pas d’écouter cet album. »