Jazz Dispensary annonce les rééditions de Jack DeJohnette, Idris Muhammad et Leon Spencer
Jazz Dispensary a annoncé la prochaine vague d’offres de la célèbre série Top Shelf, avec un triple jeu de rééditions mettant en vedette Chez Jack DeJohnette Sorcelleriecelle d’Idris Muhammad Révolution du rythme noir !et de Leon Spencer D’où je viens.
Ces rééditions marquent la première grande sortie en vinyle des trois albums en plus de 40 ans. Comme pour tous les titres de la série Top Shelf, qui réédite les raretés de la plus haute qualité et triées sur le volet (toutes extraites des coffres de Craft Recordings), les albums ont été coupés à partir des bandes analogiques originales (AAA) de Kevin Gray de Cohearent Audio. et pressé sur un vinyle de 180 grammes de qualité audiophile chez RTI.
Les LP sont logés dans des pochettes tip-on, aux motifs originaux fidèlement reproduits. Disponibles en précommande à partir d’aujourd’hui (5/30), les sorties doivent sortir le 14 juillet sur le site officiel de Jazz Dispensary et dans les magasins de disques du monde entier.
Au cours d’une carrière qui s’étend sur cinq décennies et comprend des collaborations avec certaines des figures les plus emblématiques du jazz moderne, Jack DeJohnette, lauréat d’un Grammy, s’est forgé une réputation incontestée comme l’un des plus grands batteurs de l’histoire du genre, collaborant avec des artistes comme John Coltrane. , Miles Davis, Ornette Coleman, Sonny Rollins, Thelonious Monk, Bill Evans et bien d’autres.
En cours de route, il a développé une polyvalence qui laisse place au hard bop, au R&B, à la musique du monde, à l’avant-garde et à presque tous les autres styles qui ont émergé au cours du dernier demi-siècle. Sorcellerie trouve que DeJohnette a fait équipe avec une équipe serrée de camarades de groupe badass, y compris des vétérans de Miles Davis Breuvage de chiennes sessions (le bassiste Dave Holland) et le groupe Headhunters de Herbie Hancock (Bennie Maupin).
Discursif, méditatif, trippant mais ancré dans des grooves savoureux (comme le break de batterie profond « Epilog », entendu précédemment sur Cosmic Stash de Jazz Dispensary), et entrelacé de rafales de guitare Hendrix-on-jazz-stéroïdes de héros à 6 cordes John Abercrombie et Mick Goodrick, l’album est un véritable one-of-a-kind. De plus, l’album présente un traitement électronique en avance sur son temps de DeJohnette, ce qui le distingue de tout autre album de l’époque.
Pré-commandez le nouveau lot de rééditions du Jazz Dispensary.