Yungblud marque le début d’une nouvelle ère avec ‘Lowlife’
Yungblud est de retour avec un nouveau single historique « Lowlife », maintenant disponible via Locomotion / Geffen Records, après une première avec Zane Lowe sur Apple Music.
Son voyage effréné à travers le cosmos du rock alternatif se poursuit, avec « Lowlife » marquant une nouvelle ère – visuellement, sonorement et créativement – pour l’artiste qui est indéniablement devenu la voix de Gen-Z, utilisant sa musique pour unir et responsabiliser la jeunesse d’aujourd’hui.
« Lowlife » est peut-être la création la plus honnête de Yungblud à ce jour. Livré avec ferveur et passion, c’est un hymne énergique, rebelle et turbo, fusionnant des mélodies hard-edge, des lignes de basse lourdes et des paroles brutes et vulnérables. Cela marque le début d’un changement sonore et créatif qui voit Yungblud revenir à ses racines alternatives tout en prenant des risques créatifs avec une production excentrique mais détaillée, et une instrumentation réfléchie qui se sent à la fois nouvelle et nostalgique.
Parlant du morceau, Yungblud déclare : « J’ai écrit ‘Lowlife’ parce que je ne voulais tout simplement pas quitter ma maison. J’en avais marre des gens, des jeux, de moi-même, de mes amis, à chaque fois que je faisais quelque chose, un idiot avait une opinion là-dessus. Ce que je dois faire ou être. La vérité est que je ne voulais pas être n’importe quoi parfois, je voulais n’être rien. Alors je n’ai pas quitté mon lit. J’étais insatisfait et j’avais envie d’une sorte d’ennui. Le genre d’ennui où tu t’assois chez toi, dans les mêmes draps et regarde la putain de télé engourdissante, alors j’ai écrit une chanson à ce sujet.
Il a négligé la notion d’être redevable aux influences lors de l’écriture du single et est entré en studio avec le producteur Paul Meany sans références ni idée préconçue du résultat. Il dit: «Je ne suis pas allé en studio avec l’intention de faire quelque chose comme ‘Close To Me’ ou ‘Born This Way’ ou ‘Life On Mars’. Nous commencions avec une toile vierge à chaque fois, élevions un rythme et voyions ce qui se passait.
