A voir désormais : le système de santé en panne à l’écran dans « Sages-femmes ».

Le film français de Léa Fehner, Sages-femmes, a été présenté en avant-première au festival du film de Berlin en février dernier. Le film a été très apprécié tant par le jury que par le public.

Léa Fehner a fait participer de vraies sages-femmes à la réalisation du film, a filmé de véritables accouchements et a demandé à de jeunes acteurs de l’école d’art dramatique de se promener dans les maternités.

L’intrigue
Sofia et Louise, deux colocataires, font leur entrée dans une clinique d’accouchement à Toulouse. Toutes deux sont des sages-femmes fraîchement diplômées, prêtes à mettre en pratique leurs compétences après cinq années de formation. Cependant, leurs débuts sont loin d’être faciles. Elles sont immédiatement placées dans l’équipe, où il n’y a guère de temps pour la supervision.

Le téléphone est surchauffé, les moniteurs émettent des bips et il faut sans cesse chercher une salle d’accouchement libre pour aider les futures mères à accoucher. La chef d’équipe, confrontée à une pénurie de personnel et à un budget limité, fait de son mieux pour que tout fonctionne. Sofia et Louise doivent rapidement apprendre à faire face à la charge de travail élevée de la maternité, mais aussi à la réalité quotidienne d’une nouvelle vie, de la maternité et parfois de la mort.

Tragicomédie
Dans la bande-annonce, on voit qu’il s’agit d’un film plein de moments intenses et stressants, mais aussi de moments de joie magnifiques et sincères ; une histoire où l’on rit et où l’on pleure.

Sages-femmes est disponible dans tous les cinémas à partir du 5 octobre.