Si vous savez cela, vous ne regarderez plus jamais « Retour vers le futur ».
Retour vers le futur de Robert Zemeckis est sans aucun doute l’un des films les plus aimés et les plus reconnaissables des années 1980. Le voyage dans le temps étant un élément central du film, il est presque inévitable qu’il y ait une faille dans l’intrigue ici ou là. L’une d’entre elles reste très particulière.
Pourquoi George (Crispin Glover) et Lorraine McFly (Lea Thompson) ne reconnaissent-ils pas le garçon qui les a présentés l’un à l’autre ?
Voyage dans le temps
Dans le film, Marty McFly (Michael J. Fox) retourne en 1955 et y retrouve ses parents. Il interfère dans leur première rencontre et la (future) mère de Marty, Lorraine, tombe amoureuse de lui au lieu de son père, ce qui pourrait avoir des conséquences désastreuses sur la ligne temporelle.
Marty doit donc s’assurer que son avenir reste intact en réunissant ses parents, sinon il ne naîtra jamais.
Paradoxe
À la fin du film, Marty se réveille dans sa chambre et semble croire que son aventure dans le passé n’était qu’un rêve, mais dès qu’il entre dans le salon, il s’avère que ce n’est pas le cas. En fait, ses actions dans le passé ont changé son avenir après tout
Heureusement pour Marty, ses actions n’ont apporté que de bons changements dans l’avenir de sa famille, mais une grande question demeure : pourquoi George et Lorraine McFly ne trouvent-ils pas étrange que leur fils ressemble exactement au garçon qu’ils ont présenté l’un à l’autre il y a 30 ans ?
Bonne fin
Bob Gale, auteur de Retour vers le futur a trouvé une explication à ce trou dans l’intrigue il y a plusieurs années. Il a dit ce qui suit : « Gardez à l’esprit que George et Lorraine n’ont connu Marty/Calvin que pendant six jours lorsqu’ils avaient 17 ans, et qu’ils ne l’ont même pas vu tous les jours pendant ces six jours.
https://www.youtube.com/watch?v=rV7mjdGHUXY
« Je parie que la plupart d’entre nous pourraient feuilleter l’annuaire de leur lycée et trouver des photos de leurs camarades adolescents qui ressemblent un peu à nos enfants.